Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 21

-HAN HAN HAN HAN ….

*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* ….

Élodie émerge lentement, recroquevillée sur le cuir froid d’un canapé. Son cerveau est
encore embrumé des nombreuses jouissances qui l’ont exténuée. Petit à petit,
l’adolescente prend conscience de son environnement, ce sont d’abord les courbatures et
les élongations de ses articulations qui la “réconcilient” avec son corps meurtri.
Ensuite, viennent les relents et l’arrière goût de foutre sur sa langue pâteuse. La
lumière blanche cingle ensuite sa vue avant que son odorat ne capte les fortes odeur de
sexe sale qui flotte dans l’atmosphère clos de la pièce dans laquelle elle se réveille,
perdue et désorientée. Viennent enfin les bruits de baise qui finissent de la réveiller.

Une fille est apparemment en train de se faire démonter non loin de l’adolescente, qui
n’ose pas bouger. Elle ne sait toujours pas où elle se réveille, ce qui ne la rassure pas
sur la précarité de sa situation, seule, perdue au milieu de cette cité. Son corps
frissonne instinctivement, elle est complètement à poil, la peau exposée, et en contact
direct avec le cuir froid et craquelé d’un vieux canapé. Quelqu’un bouge à ses côtés, les
bruits ambiants se dévoilent les uns après les autres dans un capharnaüm inaudible :

-Mais vas-y putain couvre mes arrières connard!
-HUN HUN HUN …. Bouffe ma bite salope!
-Alors la “cum addict”, tu les aimes nos bites dans ton cul?
*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC*
-Vas-y mec, tire dans l’tas, j’y suis presque ….
-Putain, mais arrête de te faire sucer, on s’fait décimer là! ….

Petit à petit, Élodie discerne la scène sonore, sans oser ouvrir les yeux. Quelques
gamins sont en train de jouer à leur jeu en ligne, et quelqu’un est définitivement en
train de baiser juste à côté d’elle. L’adolescente entrouvre timidement les yeux et dans
sa position foetale parvient à discerner les formes mouvantes de deux jeunes blacks en
train de farcir la belle asiatique au gros seins qui l’a tant fait jouir en la fistant
quelques heures plus tôt.



Julie est à genou sur l’assise du canapé, la tête et les seins maltraités par un jeune
black filiforme par dessus le dossier, pendant qu’un deuxième lascar lui laboure le
derrière en lui claquant le cul violemment.

Alors qu’Élodie arrive à discerner les trois jeunes en train de s’exciter sur leur
manette, elle distingue vaguement Iza se faire ramoner la chatte, allongée sur la
méridienne qui étend le grand canapé au côtés des joueurs. Elle a les cuisses écartées
par “Romu?” qui active violemment sa grosse carcasse au-dessus du corps écartelé de la
jeune parisienne la tête dans le vide en train de pomper un des joueurs, qui a bien du
mal à se concentrer sur la partie.

Les membres ankylosés de l’adolescente la contraignent à s’étirer. Elle n’en peut plus et
va devoir dévoiler au groupe qui joue et baise sans vergogne juste à côté d’elle, qu’elle
est réveillée. Lorsqu’à bout de sa résistance, Élodie étire ses membres endoloris, elle
est un peu surprise de ne pas créer plus d’émoi autour d’elle. Un mouvement dans son dos
attire son attention, c’est Moussa, nu, sa grosse et longue queue pendante nonchalamment
entre ses cuisses musclées:

-Ca y est t’es réveillée p’ti cul?

Élodie reste un peu sur la réserve, et se recroqueville sur le dossier en cuir:

-Ca fait combien de temps que je suis là? S’enquiert la jeune fille qui couvre son corps
nu derrière ses cuisses recroquevillées.

-T’inquiètes! Tu as été une belle salope et tu as tenu la distance, mais comme tu vois,
tu n’es pas encore à la hauteur de ces deux salopes de Julie et d’Iza! Déclare Moussa en
pointant du doigt les deux salopes en train de se faire défoncer.

Il tend une main à l’adolescente avant de rajouter:

-Comme promis, on t’a baisé pendant deux bonnes heures et personne ne t’a touché lorsque
tu t’as tourné de l’œil.


Élodie se lève, un peu gênée d’être entièrement nue dans le salon où Iza et Julie
continuent de subir les assauts du groupe de jeunes blacks. Elle planque timidement
l’intimité de ses gros nichons derrière son bras droit et plaque sa main gauche sur son
pubis imberbe, malgré la débauche de ces dernières heures.

Il ouvre alors la main, et tend quinze préservatifs plus ou moins emplis de foutre
gluant:

-Voilà ce que tu es venu chercher, ma belle! Comme on en avait de trop, et que t’avais
pas assez de plastique, on t’a fait un p’ti extra!

Il lui tend un mug thermos dont il ouvre le couvercle sur 6 gros glaçons blanchâtres pas
tout à fait congelés en leur centre. Moussa le referme et le range avec les capotes dans
la pochette de la gamine. Il arque un sourcil avant d’en ressortir la carte d’identité
d’Élodie:

-Avril 2003? T’as du potentiel ma p’tite salope! Comme tu vois …. Il dirige son regard
vers Iza qui se fait maintenant prendre en levrette, ses gros seins balancés d’avant en
arrière sous sa poitrine, une bite dans la bouche et branlant les deux autres gamers ….
Je recrute des escort’ si t’es intéressée, v’là mon 06.

Il range la carte et sort le mobile de la gamine pour y enregistrer son numéro. Élodie
récupère ses affaires et vérifie son portable; “Grosse bite du 93?”, elle lui sourit,
complice:

-Ouais genre super discret quoi! Elle ramasse sa veste, ses cuissardes et les lambeaux de
nylons et de dentelles qui étaient son body et ses bas: Et j’fais comment pour rentrer
moi?

-Fallait pas nous chauffer, salope! Lui répond Moussa d’un air moqueur. Le deal c’était
ta liberté pour deux heures de baise! T’as pas inclus le retour, faut t’en prendre qu’à
toi! Maintenant dégage!

VLAM! L’adolescente se fait éjecter dans le couloir encore à poil, elle passe au plus
vite le trench coat sur son corps encore meurtri des assauts qu’il a subi il y a tout
juste quelques heures.
Elle zippe ensuite ses cuissarde et balance les restes déchirés de
son body et de ses dim’ up dans le monceau de détritus qui occupe l’appartement délabré
en face du squat de Moussa.

Elle entend des bruits hanter les couloirs quasiment désert si tard dans la nuit. Elle
marche le plus silencieusement possible afin de ne pas attirer l’attention des
“locataires” en train de baiser dans les appartements à proximité. Elle assiste bien
malgré elle à tout un tas de sévices auxquelles les filles de la cité sont soumises,
tournantes dans les logements insalubres, zoo dans les enclos de fortune des pitbulls
sous les yeux révulsés des tortionnaires souvent mineurs, camgirls dans des appartements
segmentés en chambres de séduction, prostitution sous les porches du bâtiment.

Élodie est loin d’être rassurée lorsqu’elle doit traverser les cours qui la ramènent à la
rue principale, et avec la pluie qui continue de tomber, son trench commence à plaquer
sur ses formes voluptueuses. Le tissu commence à exposer sa nudité par transparence
lorsqu’elle consulte son application Uber en priant d’y trouver un chauffeur si tard dans
la nuit. “Bingo!” Il y a un a VTC pas très loin mais apparemment, elle va devoir partager
la course.

“Oh merde! C’est le même chauffeur qui l’a conduite ici il y a quatre heures.
Malheureusement, c’est le seul chauffeur de disponible, et étant donné le voisinage dans
lequel elle promène son petit cul meurtri, elle n’a pas énormément d’options.



Soit elle prend le risque d’un viol en réunion dans la rue ou dans le RER, soit elle fait
appel au gros porc qui a empli sa première capote de la soirée, en lui pilonnant le cul
avec son propre gode. Devant une décision plutôt simple à prendre, l’adolescente accepte
la course du gros moustachu qui devrait être devant la cité d’ici moins d’une minute
lorsqu’elle réalise: “Putain mes godes!”

Elle vérifie sa pochette, et à part ses papiers, les 16 préservatifs noués en tas et la
thermos pleine de gros glaçons de foutre, elle ne trouve plus ses godes que les salops
ont dû lui chourrer.
Elle n’a ni le temps, ne le courage d’aller affronter le groupe de
pervers du squat qu’elle vient de quitter. De peur de devoir repasser à la casserole elle
se résigne à attendre le gros moustachu pervers, qu’elle a bizarrement hâte de voir
arriver, non seulement pour décamper de ce lieu dépravé, glauque et dangereux, mais aussi
quelque peu excitée de retrouver la grosse bite qu’elle a sucer en arrivant à Stains.

Transie de froid, et la peau parcourue d’une chaire de poule malsaine, elle voit enfin
arriver les feux de la grosse berline. Elle croise les bras sur sa poitrine, le petit sac
à main plein de ses trésors plaqué contre ses seins apparent presque en quasi
transparence à travers le tissu détrempé de son trench. Ses cheveux trempés tombent sur
les fines épaules recroquevillées, son maquillage délavé coule le long de ses joues
gonflées d’adolescente, lorsque le gros moustachu se gare devant elle en baissant la
vitre passager:

-Hey mais c’est ma petite suceuse de tout à l’heure! Monte devant, c’est plein derrière!

“Merci pour l’affiche, gros connard!” La jeune fille force un sourire faux à l’attention
du chauffeur qui daigne enfin déverrouiller la portière:

-Bien sûr pas de problèmes!

-J’ai récupérer ces trois lascars en boîte, et toi ma p’tite, tu viens de où?

“Mais qu’est-ce qui m’fait chier ce con?” La gamine formule une réponse vague:

-J’étais chez des amis!

-HA HA HA HA Ouais j’imagine qu’ils étaient content de te voir! Hein les gars? Zêtes
d’accord? C’est le genre “d’amie” qu’on aime bien voir débarquer!

-Carrément mec!
-Ouais j’me farcirais volontiers une “amie” comme toi ma belle!

“Putain les graveleux! Pourvu qu’il me ramène vite!” Se dit la gamine qui commencerait
presque à regretter sa décision. Soudain, le gros moustachu se saisit de la pochette
trempée sur les genoux de sa passagère qui l’a délaissée juste un instant le temps
d’accrocher sa ceinture:

-Regardez ce qu’elle transporte de peur de se faire chier avec ses amis!

Il lance le petit sac au trio qui ne perd pas de temps à l’ouvrir pour le fouiller:

-Mais y a que des capotes usagées là-dedans! BEURK, balance moi ça par la fenêtre!

-NON! Élodie ne peut retenir un cri d’effroi, elle en a trop baver pour récolter tout son
sperme, et elle n’a plus de temps pour refaire le plein avant l’échéance donnée par son
maître chanteur.
Elle se détache vivement et se jette entre les sièges avant pour tenter de récupérer sa
pochette. Mais les trentenaires n’ont pas l’intention de la laisser faire à sa guise et
maintiennent le sac hors d’atteinte de l’adolescente qui en se débattant voit son imper
s’ouvrir sur son corps dénudé. La ceinture se détend à la taille, et le V du décolleté
laisse apparaître un de ses nichons à la peau humidifiée par la pluie.

-WOW! Du calme papillon! S’exclame le conducteur qui pose sa grosse paluche droite sur le
haut de la cuisse dévoilée entre les pans lâches du vêtement.

Élodie sent la main du pervers glisser entre ses cuisses musclées, elle se rend compte
que sa veste se fait la malle, et tente de retenir les pans du vêtement.:

-Putain, on dirait qu’elle y tient à ses capotes merdiques!
-HE HE - Et qu’est-ce que t’es prête à faire pour qu’on balance pas tout ça sur la route?

Elle aperçoit l’éclat dans les regards complices des trois compères, et ce gros porc de
moustachu qui glisse toujours ses gros doigts inquisiteurs toujours plus loin entre ses
cuisses lisses.

-Oui p’tite cochonne, qu’est-ce qui les empêche de balancer tout ça?

-J’vous en prie, faites pas les chiens! Rendez moi ça?

-Ah ouais on est des chiens? ll ouvre la fenêtre et balance une capote sans aucun
remords.

-Nan putain! Z’êtes cons ou quoi?

Il s’apprête à en balancer une deuxième, quand Élodie abdique:

-OK Putain, z’avez gagné bande d’enflures!

Les sourires se dessinent dans l’ombre glissante de l’habitacle balayé par les éclairages
alternés des lampadaires de la N301. Le conducteur fait quelques kilomètres de plus avant
de traverser la nationale pour entrer dans un parc désert et se garer sur un cirque
désert et entouré de fourrés leur assurant une discrétion absolue. Le chauffeur coupe le
contact, ne laissant que le faisceau de ses feux éclairer la zone devant lui, un terre
plein au centre duquel trône une aire de jeu pourvu d’un petit abri isolant le centre des
battements de la pluie estivale:

-Allez p’tite salope, fait nous un petit strip!
-Un p’ti strip, un p’ti stip! Entonnent les trentenaires en cœur.

Élodie est un peu déroutée, elle n’a sur elle que son trench et ses cuissarde. Elle sort
sous la pluie lui battant le visage et le haut de sa veste encore humide. Le moustachu
met la musique à fond et ouvre les fenêtres. La gamine commence alors à faire onduler son
corps, mimant un effeuillage au rythme de la musique. Elle ondule du bassin, découvre une
épaule, puis l’autre, tourne sur elle même, dénude ses deux épaules et avance vers le
véhicule en tortillant du cul de manière lancinante et légèrement envoûtante.

Les trentenaires s’aventurent à l’extérieur de la berline et bravent les éléments pour
entourer la petite brune qui dance pour eux en les toisant sensuellement. Elle découvre
un côté, le recouvre et découvre l’autre, jouant ainsi avec les deux hommes de chaque
côté d’elle. Elle bloque les deux pans de son vêtement, les épaules toujours dénudées, et
commence à promener son index droit d’un torse à l’autre, un sourire gourmand sur les
lèvres.

Elle commence presque à aimer se donner ainsi en spectacle devant le groupe d'inconnus
qu’elle prend un malin plaisir à séduire de son petit corps aux douces formes
lancinantes. Elle sait maintenant qu’elle plait aux hommes, et elle aime être leur jouet,
surtout lorsqu’ils ont une emprise sur elle.

Elle aime aussi sentir la pluie clapoter sur la peau de ses épaules nues, cette même haut
qui glisse sur ses anglaises détendues, pour dégouliner ensuite le long de ses épaules et
finir leur course sur le tissu saturé de son trench. Les gouttes d’eau se rassemblent sur
le haut de sa poitrine dénudée et se concentrent en un filet dégoulinant entre ses gros
seins, puis le long de la peau douce de son ventre.

Les hommes sont captivés par la jeune adolescente qui se dénude devant eux sous la pluie
battante et chaude de cette fin d’été. Elle s’avance vers le guadeloupéen de la bande, il
est déjà torse nu et l’attire à lui en attrapant les deux pans du vêtement. Élodie joue
avec le jeune homme et fait demi tour, de manière à lui abandonner sa veste détrempée, se
trouvant ainsi entièrement nue entre les trois hommes, uniquement vêtue de ses cuissardes
luisantes d’humidité à la lumière des phares du VTC.

Elle ondule entre ses mâles et se retourne à nouveau vers le jeune métis qui a balancé la
veste devant la voiture, et la gamine s’accroupit devant lui en baissant son caleçon sur
sa fine bite tendue d’excitation: “Au moins il ne risque pas de me faire trop mal celui
là!”



Accroupie, la chatte gourmande ouverte sous son bassin, et les cuisses pliées, engoncées
dans les cuissardes qui se resserrent sur sa douce musculature, elle commence à lui sucer
la queue qu’elle avale sans problème jusqu’à la garde. Le rouquin et le grand blond
encerclent la belle qui s’empare immédiatement de la bite tendue du grand blond. Elle
alterne ensuite suçant les deux queues l’une après l’autre, les branlant lorsqu’elle ne
les a pas en bouche.

Ses lèvres charnues aspirent, sucent, avalent les deux morceaux de chair avec beaucoup de
passion. Elle joue de sa langue le long des fines queues la tortillant autour de la base
évasée des deux glands qui gonflent et laissent déjà écouler les premières gouttes de
liquide pré séminal. “Ils sont mûrs!” Sourit intérieurement la gamine qui pense vite les
finir pour enfin rentrer dans le confort de sa chambre d’ado.

Mais elle a oublié le troisième larron qui glisse ses mains exploratrices le long de sa
peau couverte de l’eau ruisselante de la douce pluie estivale. Il agrippe ses grosses
mamelles à pleines mains, et lui étire les tétons gonflés et tendus d’excitation. La
gamine, qui sort à peine d’une lourde séance de baise en partouze hardcore, n’en revient
pas d’être encore excitée par la situation.

-Mais qu’elle salope putain!
-Vas-y gourmande! Suce nous bien la bite!
-Ouais tu les aimes nos belles bites?

“Belles bites, faut le dire vite!” Se dit l’adolescente qui les débouche pour leur
répondre en logeant son regard de biche dans les yeux des deux pervers:

-Oui j’les aime vos belles bites, bande de salops!

Et elle les avale à nouveau dans des SLURPS bruyants, alors que le troisième lascar
s’accroupit aux côtés de la belle. Ses cuisses commencent à brûler, mais la belle tient
le coup, et s’applique à les pomper comme une pro afin de mettre fin à son calvaire.
C’est alors que le grand blond lui plante deux doigts au fond de sa chatte largement
ouverte et déjà huileuse de mouille.

*CLAC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* Il lui claque le cul violemment pour qu’elle tende
ses muqueuses vaginales autour des doigts inquisiteurs qui s’activent et lui pistonne
violemment la vulve, insistant sur son point G sur lequel il fait frotter ses doigts
agiles et recroquevillés. Le blond est un véritable artiste de la chatte, il lui astique
la vulve déclenchant des vagues intenses de plaisir au plus profond de la jeune brunette
complètement trempée par la pluie battante.

Tout son corps convulse de plaisir lorsqu’elle se met à éjaculer sur la paume ouverte qui
tape son clitoris gonflé:

-Putain, la chienne! Une vraie fontaine les mecs! *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC*

-HUN HUMPH HUMPH …. Le claquement des gouttes sur sa peau dénudée combiné aux assauts des
doigts habiles du grand blond terrasse la petite brunette accroupie devant ses mâles les
cuisses en feu, la chatte dégoulinante de jets de cyprine, et une nouvelle jouissance
explosant au creux de son ventre juvénile.

Elle se met alors à pomper ses deux bites avec encore plus de fougue et les sent gonfler
sur sa langue gourmande. Ils explosent l’un après l’autre, le premier inondant sa bouche
avide et la forçant à déglutir les flots de foutre chaud qui la force à gonfler des joues
pour encaisser la pression. Ce qu’il n’a pas en masse de chair, le rouquin le compense
par la quantité phénoménale de foutre dont il lui emplit la bouche et les joues. La
gamine a du mal à tout déglutir et un filet de sperme glisse le long de son menton pour
perler en gouttes gluantes sur sa poitrine.

Le métis n’est pas en reste et lui inonde le visage et la poitrine de doux foutre chaud
et très gluant. L’explosion de sperme sur sa peau l’excite autant que les odeurs suaves
et lourdes du sexe qui se vide sur elle. Le doux liquide visqueux glisse lentement sur sa
peau douce, et le contraste de chaleur et de viscosité entre le fluide séminal et la
fraîcheur de la pluie procure de nouvelles sensation à la gamine qui jouit une nouvelle
fois sous les frottements bien ciblés du grand blond au fond de sa vulve en chaleur:

-HAAAAAN AH AH AH …. Putain oui fait moi jouir salop! …. Aaaaaahhhhh Ouiiiiiii

Elle explose de nouveau de gros éjaculats de mouille sur la paume ouverte de son
branleur, qui continue pourtant de lui astiquer la chatte:

*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC*

Élodie, toujours accroupie, tend le ventre en avant comme si elle ne voulait pas laisser
cette jouissance s’échapper et l’abandonner:

-Oh Oui PutAin! HAN HAN Vas-y

Elle glisse ses mains sur sa peau, libérées qu’elles sont des deux bites qu’elle vient
d’évider dans sa bouche gourmande et sur son visage poupon. Puis elle pince ses deux
tétons gonflés et tendus comme des petites bites pour les étirer, les rouler et les
tordre entre ses doigts pendant que le blond lui arrache un troisième orgasme!

-Oh la vache! Putain! Ouiiiiiii ….

Elle se cambre sur ses cuisses tiraillées par la position extrême.

-HAN ….

C’est alors que les yeux encore dans le vague, une poigne inébranlable l’att par sa
tignasse trempée et l’attire vers la chaleur de la lumière des phares. Élodie a beaucoup
de mal à retrouver ses repères, encore sous l’emprise de sa dernière extase, et les
cuisses tiraillée par une brûlure fulgurante suite aux fourmis qui les ont ankylosées
alors qu’elle prodiguait ses talent buccaux.

*VLAN* Son torse est projeté sur le capot froid et humide de la berline, ses seins sont
écrasés sous son torse par la main puissante qui la plaque dans un doggy style humiliant.
La pluie violente éclate en petit picots lui flagellant la peau du dos.

La gamine panique un peu en entendant le souffle rauque et animal du monstre qui détend
la boucle de son ceinturon derrière elle. Élodie tente tout de même de se débattre
jusqu’à ce qu’une douleur perçante lui fustige la fesse droite:

*CLAC* *CLAC* *CLAC*

Les fessées tombent en rythme, sa peau la brûle, puis elle sent le contact du jeans
couvrant les cuisses puissantes du monstre dans son dos. On lui écarte violemment les
jambes tendues et:

-HAN ….

Le râle guttural du gros moustachu accompagne la pénétration violente et puissante de sa
grosse bite dans la vulve humide et très étroite de la gamine:

-Aaaaaaah …. Mais …. *CLAC*

-Ta gueule petite putain! …. HAN …. *FLOC*

Le gros pervers plante sa grosse bite trapue au plus profond de la chatte étroite de sa
victime et se met à lui limer la vulve sans ménagement à grands coups de reins puissants.

Élodie subit les assauts brutaux du monstre de chair, et elle sent chaque millimètre du
pieu de chair qui laboure sa petite chatte déjà meurtrie par tous les blacks de la cité.

La main dans son dos l'empêche complètement de bouger et la gamine ne peut que subir les
violents coups de queue qui a maintenant atteint son rythme de croisière. Élodie essaye
de détendre sa vulve au maximum pour permettre une pénétration moins douloureuse, quand
elle sent le gland de son baiseur gonfler. Elle tente alors de resserrer les muqueuses de
sa chatte en serrant son périné autour du pieu de chair, mais le gros pervers ralentit.

Il se retire enfin, pour relâcher un instant la pression, puis un nouveau *CLAC* résonne
dans le parc. Il vient de lui asséner une nouvelle fessée monumentale du plat de sa
grosse main, et malaxe les chair meurtrie entre ses doigts boudinés. Il écarte au maximum
les fesses de sa victime, tirant même la peau de la raie du cul jusqu’à une douleur
cinglante avant d’appuyer son gros gland tuméfié à l’orée de la pastille striée d’Élodie,
qui a tout juste le temps de pousser pour lui faciliter la pénétration puissante de son
anus lui aussi endolori par les assauts multiples dont il a fait les frais toute la
soirée.

-Huuuuuun …. Élodie se mord les lèvres pour ne pas crier et offrir au chauffeur la
satisfaction de la dominer.

-Putain qu’est-ce que t’es serrée salope!

-*CLAC* ….HAN …. *CLAC* …. Prends ça p’tite pute!

*CLAC* *CLAC* *CLAC* *CLAC*

Les claquements chair contre chair du bas ventre visqueux du moustachu pervers contre les
fesses de sa victime emplissent la nuit, et sont uniquement entrecoupés par les râles de
plaisir du gros sac, qui ne résiste pas très longtemps.

Il plaque sa main à plat sur les reins cambrés de la gamine et lui tire la tête en
arrière en l'attrapant par les cheveux. Dans cette position, Élodie sent la pluie battre
la peau douce de son dos, alors qu’il lui lime l’anus pendant quelques minutes qui
paraissent interminables à la gamine qui encaisse les coups de queue. Elle sent enfin la
bite tressaillir dans son cul et le gros gland gonfler par saccades,signe qu’il est
bientôt à bout.

Il se retire et la tire en arrière, la forçant à se mettre accroupi devant sa virilité
puante qu’il enfourne entre les lèvres charnues de la gamine. Il lui pistonne alors la
bouche, et Élodie qui veut en finir, l’aspire avec beaucoup de gourmandise, lui tétant le
gland comme une pro, lui branlant la queue luisante de jus intimes, et jouant de sa
langue sur toutes les zones sensibles de ce sexe pourtant magnifique.

C’est alors qu’il se plante au plus profond de la bouche juvénile pour exploser dans un
long râle de jouissance. Élodie s’évertue à déglutir le doux sperme gluant et s’applique
à lui nettoyer la bite, les yeux fermés et la main roulant son clitoris gonflé contre son
pubis afin de prendre un peu de plaisir dans cette aire de jeu déserte.

-Putain qu’est-ce que tu suces bien ma salope !

Et sans autre forme de remerciement, il retourne s'asseoir et démarre son moteur, avant
d’ajouter :

-Bon allez, tu l’bouges ton p’ti cul ? Y en a qui sont crevés ici !

Élodie ramasse son trench complètement trempé et se couvre comme elle le peut pour le
reste du voyage, son sac à main bien protégé contre elle !


********************

Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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